Race Outrilienne : Différence entre versions

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Il y eu les grands travaux génétiques des laboratoires de l'Imperium afin de produire des créatures aptes à répondre à des besoins précis. La première génération d'outriliens a ainsi été créée au travers de longs travaux scientifiques, par manipulation d'ADN. Les scientifiques, focalisés sur l'idée de créer une race dont le point fort serait les soins, eurent l'idée de mélanger, au travers d'un procédé très complexe, des cellules de lézards, réputés pour leur capacité régénératrice extraordinaire et d'humains. Ainsi naquit la première génération d'outriliens surnommée Saurus par leurs créateurs.
 
Il y eu les grands travaux génétiques des laboratoires de l'Imperium afin de produire des créatures aptes à répondre à des besoins précis. La première génération d'outriliens a ainsi été créée au travers de longs travaux scientifiques, par manipulation d'ADN. Les scientifiques, focalisés sur l'idée de créer une race dont le point fort serait les soins, eurent l'idée de mélanger, au travers d'un procédé très complexe, des cellules de lézards, réputés pour leur capacité régénératrice extraordinaire et d'humains. Ainsi naquit la première génération d'outriliens surnommée Saurus par leurs créateurs.

Version du 28 septembre 2012 à 21:19

La race outrilienne

Au commencement

Il y eu les grands travaux génétiques des laboratoires de l'Imperium afin de produire des créatures aptes à répondre à des besoins précis. La première génération d'outriliens a ainsi été créée au travers de longs travaux scientifiques, par manipulation d'ADN. Les scientifiques, focalisés sur l'idée de créer une race dont le point fort serait les soins, eurent l'idée de mélanger, au travers d'un procédé très complexe, des cellules de lézards, réputés pour leur capacité régénératrice extraordinaire et d'humains. Ainsi naquit la première génération d'outriliens surnommée Saurus par leurs créateurs.

Saurus

Génération originelle de cette race. Conservant des caractéristiques reptiliennes très marquées : peau couverte d'écailles, yeux de reptiles, doigts pourvus de griffes solides, mâchoires garnies de crocs révélant le caractère plutôt carnivore de ces individus, corps prolongé d'une longue queue qui en fin de croissance peut atteindre 1 mètre et leur sert à maintenir leur équilibre. Leur sexe, masculin ou féminin, ressemble à celui des êtres humains. Excellente perception sensorielle de leur environnement grâce à leur odorat, certains individus se servant d'une langue bifide pour goûter l'air qui les entoure.

Vers des individus plus stables

La première génération d'outriliens n'était guère satisfaisante, bien trop agressive pour servir de médecins, l'odeur du sang humain ayant la fâcheuse tendance à réveiller le caractère carnivore des individus. De plus, l'apparence très éloignée des standards humains provoquait au mieux une réaction de dégoût, au pire une réaction de peur.

Le gêne reptilien étant récessif par rapport au gêne humain, des croisements successifs furent effectués en laboratoire jusqu'à obtenir une race plus satisfaisante tant au niveau esthétique qu'au niveau comportemental.

Ainsi l'outrilien perdait ses caractéristiques les plus reptiliennes au profit d'une apparence plus humanoïde : queue moins grande, dents moins tranchantes, ongles solides remplaçant les griffes, écailles plus fines et plus lisses... A ce stade, le mode de reproduction subit également des mutations. De strictement ovipare, on vit apparaître des individus ovivipares, voire vivipares.

Satisfaits de la stabilité obtenue, les scientifiques décidèrent de cesser leurs travaux. La race outrilienne était née.

L'outrilien désormais

Morphologie

Si les attributs physique de l'outrilien sont fixés, on constate des variations notables d'un individu à un autre.

La peau : Plus épaisse que celle d'un humain, elle peut être de diverses teintes. Couverte d'écailles, allant des larges plaques osseuses à des écailles imbriquées petites et lisses, ou bien élastique et lisse comme celle des anciennes salamandres.

La queue : amincie, plus courte, ou même réduite à un simple appendice de moins de 20 cm, elle subsiste néanmoins.

Les yeux : les paupières surnuméraires inférieures ou latérales sont plus rares. Les pupilles sont le plus souvent fendues tandis que les iris sont d'une couleur inhabituelle comme par exemple l'orangé ou le jaune.

Les griffes : les mains des outriliens, dotées d'un pouce opposable, ont conservé des ongles très solides, voire des griffes courtes.

Les dents : si chez la plupart des individus la dentition révèle leur caractère omnivore, leurs canines et incisives tendent à être assez tranchantes pour découper correctement de la viande.

La langue : la langue bifide reste un trait dominant de la race.

Malgré le caractère récessif du gêne reptilien, on peut parfois voir un outrilien présentant des caractéristiques physiques très proches de la génération originelle.

Métabolisme :

La race outrilienne a conservé une faculté de régénération supérieure à la normale. Aptes à détecter facilement une odeur de sang dans leur environnement, leur diagnostic en cas de blessure est souvent très sûr.

Originellement à sang-froid, la race se comporte désormais comme celles à sang-chaud, même si en cas de température plus fraîche on peut noter un ralentissement de l'activité. Chez certains individus, une chute brutale de température les plonge en léthargie par instinct de survie. C'est le même processus que peuvent employer les outriliens pour ralentir leur rythme cardiaque en cas de besoin.

Reproduction

En ce qui concerne la reproduction, on peut évaluer à 69% les individus vivipares tandis que 30% seraient ovipares. Les ovovivipares ne représentant que de rares exceptions. Viviparité ne signifie pas allaitement, et la plupart des femelles outriliennes n'ont pas une poitrine fonctionnelle. Cependant, la zone servant de réserve de graisse, leur silhouette n'est pas dénuée de rondeurs féminines.

Comme pour la plupart des races, seule la reproduction purement outrilienne, ou avec un individu humain a des chances de fonctionner. Toutes les autres combinaisons sont alors stériles.


Particularité raciale : La mue

Les peaux à écailles ont une élasticité limitée, c'est pourquoi, certains individus ont besoin de muer au fur et à mesure de leur croissance. Il s'agit pour l'outrilien de se débarrasser de sa peau devenue trop petite. Le processus est relativement long et dangereux puisque la nouvelle peau est encore trop fragile pour le protéger. C'est pourquoi par instinct, l'outrilien qui mue va s'enfermer dans un endroit où il se sent en sécurité et où il aura entassé suffisamment de provisions pour survivre durant tout le processus. Les mues seront fréquentes chez un individu jeune, s'espaçant de plus en plus lorsqu'il aura atteint sa croissance maximale.