Ecole Supérieure Impériale : Différence entre versions

Version du 3 novembre 2012 à 21:23

Il est impératif dans un système autoritaire de former les forces armées à toute éventualité, afin de maintenir un climat de terreur et de tenir éloignés ou emprisonnés tous les idéalistes aux pensées dissidentes.
Le professionnalisme est primordial. Inutile de préciser que dans la rue, lorsque les Forces de Police Impériales et les gangs de rue se font face, il n'y a pas de quartier. Dans les rangs de l'Empereur, la rigueur est de mise.

Qui fait quoi ?
Où se placer ?
Comment être le plus efficace ?
Quelle arme utiliser, et dans quel contexte en changer ?
Comment, en l'air, différencier une grenade d'une simple cannette usagée ?

L’École Supérieure Impériale forme depuis des générations le fer de lance de la politique contemporaine.
Du Fantassin de Police Impérial à l'Agent des Services Secrets, toute Autorité Impériale a passé son diplôme d'aptitude dans cette prestigieuse organisation.

Au programme de l'entraînement, des combats bien sûr, mais aussi et surtout du Droit Impérial, de l'histoire impériale et de l'ingénierie.

Artwork d'un Cadet de Police en uniforme assit sur une chaise d'école. Il écoute attentivement et prend des notes. Les feuilles qui sont posées sur son bureau décrivent différentes armes et différents insignes.

Pour l'élite diplômée qui trouve un travail, c'est l'ouverture au cercle très fermé des Autorités Impériales qui s'amorce.

De nombreuses évolutions sont alors possibles, dans le domaine public comme dans les agences de sécurité privées, très friandes de ces jeunes talents et bien souvent plus rémunératrices que l'Impérium.